Le 12 octobre, cinq jours après l’attaque du Hamas en territoire israélien et le début des bombardements sur Gaza, Gérald Darmanin adressait un télégramme aux préfets. « Les manifestations pro-palestiniennes, parce qu’elles sont susceptibles de générer des troubles à l’ordre public, doivent être interdites », écrivait le ministre
Darmanin ne peut les interdire que localement et non de façon GÉNÉRALE.