samedi 14 décembre 2024
Theodore Roosevelt a prononcé ce discours à la Sorbonne le 23 avril 1910 (« L’homme dans l’arène »)
Ce n’est pas le critique qui compte, ni celui qui montre les trébuchements de l’homme fort, ni les erreurs de l’auteur. Le mérite revient à l’homme qui est réellement dans l’arène, dont le visage est couvert de poussière,
https://gornardjaune.blogspot.com/2021/11/leternel-dit-tu-ne-pourras-pas-voir-ma.html
de sueur et de sang, qui lutte vaillamment, qui commet des erreurs, qui échoue encore et encore, car il n’y a pas d’effort sans erreur ni manquement, mais qui s’efforce réellement d’accomplir les actes, qui connaît les grands enthousiasmes, les grands dévouements, qui se dépense pour une noble cause, qui connaît au mieux le triomphe final d’une grande réussite, et qui au pire, s’il échoue, échoue au moins en osant beaucoup, de sorte que sa place ne sera jamais avec ces âmes froides et timides qui ne connaissent ni la victoire ni la défaite.
aux hommes de la vie cloîtrée qui fuient le contact avec leurs semblables (...) des hommes qui calment la tempête et chevauchent le tonnerre (...) usé par la guerre, épuisé par de durs combats, celui des nombreuses erreurs et de la fin vaillante (...)
La plus grande de toutes les malédictions est la malédiction de la stérilité, et la plus sévère de toutes les condamnations devrait être celle qui frappe la stérilité volontaire. (Levitique 26)
https://www.theodorerooseveltcenter.org/Learn-About-TR/TR-Encyclopedia/Culture-and-Society/Man-in-the-Arena.aspx
Discours d'Emmanuel Macron à la Sorbonne le 26 septembre 2017